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Charte Déontologique de la Généalogie

Traras
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Traras, appelé aussi "Les Monts de Traras" est une région d'Algérie située à l'ouest du pays. Elle est réputée par la chaleur de ses habitants et leur accueil.


Sa population conserve jusqu'à nos jours dans son mode de vie, des particularités fortement berbères. Ceci va de l'artisanat domestique et du travail de la terre au parlé qui tire sa racine du tamazight.


Traras, qui se prononce en arabe "Trârâs", avec "s" prononcé est le pluriel de târrès. Il désigne les habitants de cette région d'Algérie dont les frontières vont là ou l'homme se considère précisément comme târrès...


Traras est riche en villes, à partir de la frontière Ouest, elle englobe Maghnia, Ghazaouet, Nédroma, Sebdou, Khemis de Beni-snous, Sabra, Honaïne, Remchi, Beni-Saf, Hennaya pour s'étaler vers l'est et de grandes agglomérations comme Aïn-Temouchent, Oran, Sidi-Bel-Abbes, Ghelizane, Saïda, Mostghanem, Tiaret, Chlef, Médéa... et les trârâs sont encore plus loin...


Tlemcen, la perle du Maghreb, la ville d'art et d'histoire a été toujours la capitale de Traras...

Abdel-Moumen Ben-Ali, le fondateur de la dynastie des Mouwahidines ( Les unificateurs), descend de ces contrées, entre Honaïne et le culminant de Tajra.


Abd-el-Moumen, c'est aussi l'homme qui unifia le Maghreb et y établit sa puissance où régnait l'ordre et la justice, aidé pour cela par le clairvoyant ouléma Ibn-Toumert qui officiait à Bejaïa à l'est du Maghreb. Ce sont les précurseurs qui ont forgé l'idée d'un grand Maghreb uni.



Traras Région ajoutée par Ilyes 30/09/2007

 

La généalogie des musulmans

 

 

Il n’y avait pas de musulmans en France sous l’Ancien Régime. Ils n’apparaissent dans l’histoire de France qu’à partir de l’annexion de l’Algérie en 1830. Les pays musulmans n’avaient pas comme en France la tradition de la tenue de registres, car ils avaient plutôt une tradition orale. Mais celle-ci n’a pas toujours permis de faire perdurer la transmission de généalogies familiales, en particulier pour les familles musulmanes qui ont émigré en France.

 
 
 
L’Algérie  
 
 

 

 Drapeau de l'Algérie

 

      Adoption  du drapeau

3 juillet 1963

 

Les deux bandes de couleur représentent, pour la verte, la prospérité et la terre, ainsi que la couleur du paradis dans l'Islam ; la bande blanche représente la pureté et la paix. Le croissant et l'étoile rouge sont des symboles musulmans. Le croissant représente le chemin que doit parcourir le musulman durant sa vie pour espérer accéder au Paradis, et l'étoile représente les cinq piliers de l'islam ; la couleur rouge représente le sang des martyrs.

D'après la signification officielle : conçu en avril 1945, à la suite d'une synthèse des étendards de l'Empire ottoman, de l'Émirat d'Algérie, lui même repris de celui d'Al-Andalus, ainsi que de l'écusson de l'Étoile nord-africaine (ENA). Il est adopté le 3 avril 1962 par le gouvernement provisoire de la République algérienne (GPRA), et officialisé par la loi du 25 avril 1963.

Des registres ont commencé à être tenus dès les premières années de la présence française, et ce jusqu’à l’indépendance de l’Algérie en 1962. C’est dans les grandes villes que les registres ont été créés le plus rapidement. Ceux-ci étaient tenus en double exemplaire, mais ils sont restés sur place après l’indépendance. Une campagne de microfilmage a déjà permis de rendre consultables en France les deux tiers de ces registres. Ceux-ci sont conservés au Service central de l’état civil à Nantes. Mais ces registres ne concernent malheureusement que peu les familles musulmanes d’Algérie puisque l’on ne peut accéder qu’aux registres des années 1855, 1856 et 1858.

On est donc souvent contraint de se tourner vers d’autres sources, comme par exemple les dénombrements de la population des années 1906, 1911, 1931 et 1954. Ces documents précisaient l’origine des individus : s’ils étaient Français d’origine, s’ils avaient été naturalisés (sous certaines conditions), s’ils étaient Marocains ou encore étrangers.

Avant 1894, seuls les Français figuraient sur les listes électorales. Après cette année, ces listes distinguaient les « Français », c'est-à-dire les Français d’origine et les musulmans ayant acquis la nationalité française, des « musulmans », que l’on a successivement nommés indigènes, musulmans puis Français musulmans.


La Tunisie

La Tunisie a été sous protectorat français de 1881 à 1956. Des registres ont donc été tenus en trois exemplaires de 1884 à 1956. Ils concernaient l’ensemble de la population, Européens comme musulmans. Si ces registres sont restés sur place après la fin du protectorat français, des microfilms ont néanmoins été réalisés et sont consultables à Nantes, au Service central de l’état civil.

Le Maroc

Etant aussi sous protectorat français de 1912 à 1956, des registres ont de même été tenus au Maroc, entre 1915 et 1956. Ceux-ci étaient établis en deux exemplaires, dont l’un est également consultable à Nantes, au Service central de l’état civil.

 
 

 

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